La mer est salée, comme les larmes, comme la sueur, comme la tristesse. 

Le garçon, presque un homme maintenant, a découvert la profondeur de la couleur bleue, inattendue, qui teinte tout désormais. 

Il lui est difficile de retrouver l'espoir, que la chaleur du soleil d'été réchauffe sa poitrine froide, mais il sait qu'en fin de compte, les chagrins, comme les vagues, vont et viennent, et même s'ils sont toujours là, et que nous nous y abreuvons tous les jours, ils ne seront pas toujours aussi salés.

Cette œuvre fait référence à la mélancolie des peines d'adolescence, aux premières douleurs, au bleu des cœurs solitaires, mais elle est en même temps un reflet de l'espoir. Tout viendra.