- -20%
Tarde Azul II
Reproduction giclée de qualité muséale ISO 9706
- • Impression professionnelle sur papier Fine Art 210 gr avec les encres pigmentées mattes Canon LUCIA PRO.
- • Couleur calibrée et procédé complet développé par l'artiste.
- • Papier traité pour une durabilité sans changement de ton, sans acide et à PH neutre. 80 ans dans des conditions normales, jusqu'à 200 ans sous verre et dans des conditions muséales.
- • Disponible en trois formats d'encadrement standard, livré non encadré.
- • Signé à la main au recto.
- • Certificat d'authenticité ci-joint.
Il est généralement préparé en moins de 7 jours et envoyé en porte à porte en service 48h pour l'Espagne.
Livraison dans le monde entier (environ 5 jours ouvrables CAD, 2 jours FR).
L'auteur se réserve le droit de produire une édition imprimée.
Le garçon est seul, nu, dans une pièce baignée par la chaude lumière du soleil de l'après-midi. La cigarette qui pend à ses lèvres semble être la seule chose qui interrompt l'immobilité de son corps. Il est devant un ordinateur portable, peut-être en train de travailler, de lire ou de chercher quelque chose en ligne, mais son regard vide suggère qu'il ne trouve pas ce qu'il cherche. La lumière du soleil entre à flots, mais ne semble pas remplir le vide qui l'entoure.
Sa posture reflète une lutte interne, comme si, malgré son calme apparent, quelque chose le retenait à cet instant, dans cet espace. La nudité, plutôt qu'une libération, semble une exposition forcée, un rappel de ce qui manque. L'ordinateur et la cigarette sont des tentatives d'évasion, de combler un vide émotionnel par des distractions qui ne parviennent pas à le relier à quelque chose de plus profond.
Le sentiment de manque d'amour ne provient pas d'une perte, mais d'une déconnexion avec soi-même. En cet après-midi ensoleillé, entouré de chaleur, il est toujours seul, cherchant à l'extérieur ce qu'il est le seul à trouver à l'intérieur.
Les clients qui ont acheté ce œuvres ont également acheté...
4 autres œuvres dans la même catégorie :
Guide des symboles dans l'œuvre de Bran Sólo
La mer: Lieu infini de calme, d'amour, de perfection, de foyer. | |
Les dents: Douleur, perte, peur. | |
Tentacule: Tentative d'atteindre, de contenir, de piéger. | |
Les maisons en flammes: La maison que l'on a laissée derrière soi et à laquelle on ne pourra jamais revenir. Brûler le passé. Oublier. Parfois elle brûle et disparaît, parfois elle est engloutie par la mer. | |
Main à l'œil ouvert: L'espoir, sauvé du naufrage. | |
Clé au fond de la mer: Secrets. | |
Couple de martinets: Amour, dépendance, union, couple. | |
Grandes oreilles: Preuve que le personnage est sans aucun doute une bonne personne. Un enfant aux grandes oreilles doit apprendre à être quelqu'un de bien pour survivre. | |
Marques sous les yeux: Tristesse, cernes sous les yeux, nuits blanches. | |
Taches au niveau du cou: Barbe, maturité, masculinité. | |
Cercle dans la gorge: Angoisse, étouffement, boule dans la gorge. | |
Les narvals: Les narvals ne peuvent pas être embrassés. | |
Naufrage: La frustration d'un amour non partagé. | |
Constellations: Un guide pour comprendre l'incompréhensible. De nombreuses constellations sont aléatoires, mais elles existent sûrement quelque part dans le monde. | |
Plante rouge: Les émotions tentent de s'échapper. Cette plante, l'amour de l'homme (Tradescantia), pousse partout, surtout dans les fissures entre les rochers. Le corps est le rocher, le cœur une fissure, et de là partent les sentiments qui tentent de s'échapper, de grandir vers l'infini, à la recherche de ce à quoi nous aspirons tous. | |
Œil déformé et flou: Référence à la déficience visuelle de l'artiste. Peur de la cécité. Point de vue unique. |